Vous êtes ici : Accueil / Actualités / Colloque international Sémiotique appliquée, sémiotique applicable : nouvelles méthodes, UQAR (Canada), 25-28 mai 2015

Suivez-nous

Facebook de SignoSemio Twitter de SignoSemio
Logo Congrès Acfas 2015 UQAR

Appel à communications :

Colloque international Sémiotique appliquée, sémiotique applicable : nouvelles méthodes

12e Colloque de sémiotique de la Francophonie

Sous la présidence d'honneur de Jacques FONTANILLE et de Jean-Marie KLINKENBERG

Sous les auspices de l'Association française de sémiotique

83e Congrès de l'Association francophone pour le savoir (Acfas)

Du lundi 25 au jeudi 28 mai 2015

Université du Québec à Rimouski (Canada)

Renseignements : louis_hebert@uqar.ca

 

Téléchargez l'appel à communication du colloque (pdf)

 

APPEL PROLONGÉ JUSQU'À CAPACITÉ MAXIMALE ATTEINTE OU AU PLUS TARD, LE 15 FÉVRIER 2015

Réflexions préliminaires

Au sens large, la sémiotique est la discipline, fondée entre la fin du XIXe et le début du XXe s., qui étudie la production, la dynamique interne et l'interprétation des objets signifiants, c'est-à-dire qui produisent du sens (textes, photographies, tableaux, etc.), et des phénomènes qui les constituent (signes, signifiants, signifiés, sémiose, signification, énonciation, etc.).

Des travaux récents (Hébert 2003 et 2012-) suggèrent de distinguer la sémiotique théorique (où la théorie est une fin) et la sémiotique appliquée, elle-même subdivisée en sémiotique appliquante (où la théorie est un moyen utilisé pour connaître un objet « empirique », par exemple tel texte) et sémiotique applicable (s'il y a objet empirique analysé, il est surtout un moyen pour illustrer les outils disponibles pour des applications ultérieures). Certes, un objet empirique peut être utilisé pour constituer, préciser, valider, voire invalider une théorie sémiotique; mais il demeure à ces égards un instrument et non une fin. Nous reviendrons plus loin sur la notion d'objet empirique.

Badir (à paraître : 11) propose de faire une distinction « entre une théorie de la pratique de connaissance et une théorie de l'objet dans cette connaissance ». La sémiotique applicable est nécessairement une théorie de la pratique de connaissance sémiotique; mais toute théorie de la pratique de connaissance sémiotique n'est pas nécessairement de la sémiotique applicable et peut relever plutôt de la sémiotique théorique. Quoi qu'il en soit, l'important est de reconnaître le statut d'intermédiaire de la sémiotique applicable, entre théorie « pure » et application « pure ».

La sémiotique théorique est représentée, par exemple, dans des textes de Peirce (1982-2009) [1867-1892], de Saussure (1995 [1916]), de Hjelmslev (1971 [1943]) ou le dictionnaire de Greimas et Courtés (1979 et 1986). La sémiotique applicable est le fait notamment des manuels de sémiotique, qu'ils soient en sémiotique générale ou particulière, qu'ils touchent une seule ou plusieurs écoles : par exemple, Barthes 1985 [1964], Guiraud 1971, Courtés 1976, Hénault 2012 [1979], Deely 1982, Eco 1988, Everaert- Desmedt 1990, Fisette 1990, Nöth 1990, Courtés 1991, Sebeok 1994, Courtés 1995, Liszka 1996, Klinkenberg 1996, Eco 1998, Bertrand 2000, Fontanille 2003, Hébert (2004-), Zilberberg 2005, Hébert 2007, Chandler 2007, Courtés 2007, Crow 2010, Zilberberg 2012, Jappy 2013. La sémiotique appliquante semble plutôt le fait d'étudiants en contexte académique, de sémioticiens intervenant dans d'autres disciplines (par exemple, en publicité) ou de non-sémioticiens important la sémiotique à titre d'auxiliaire dans leur discipline. Les « appliquants » exploitent la sémiotique en guise de technique. C'est ce qui la rend candidate, par contrecoup, au statut de « science ».

Les trois perspectives sémiotiques que nous avons dégagées peuvent cohabiter, dans différentes proportions, dans un même texte. Par exemple, dans le Maupassant de Greimas (1976), le texte de Maupassant est à la fois l'objet d'une application, qui permet d'augmenter sensiblement la connaissance à son propos, et un objet d'extraction, de mise au point, de validation et d'illustration de la théorie.

De plus, une application présuppose toujours une méthode, fût-elle implicite et non réflexive (inconsciente), qui présuppose elle-même toujours une théorie, fût-elle implicite et non réflexive (inconsciente). En conséquence, on peut distinguer la théorie dans le texte de théorie et la théorie dans le texte d'application. Une « même » théorie peut subir des inflexions importantes de contenu – par addition, soustraction, substitution, conservation, etc. – en passant d'un de ces deux contextes à l'autre, sans compter le changement de statut et son incidence. De la même manière, on peut distinguer : (1) la méthodologie d'application à l'objet empirique qui se dégage, fût-ce implicitement, du texte de théorie; (2) cette « même » méthodologie exposée et développée dans la sémiotique applicable; et (3) cette « même » méthodologie exploitée dans la sémiotique appliquante.

Nous venons de parler de la théorie et de la méthode dans... Il existe évidemment aussi une théorie de... On trouve ainsi une théorie de la théorie (métathéorie), une théorie de la méthode, une théorie de l'applicable et une théorie de l'appliquant. Il resterait à élucider leurs relations avec les autres catégories que nous avons mentionnées.

Lançons quelques réflexions sur les relations entre la dyade sémiotique théorique / appliquée, la dyade sémiotique générale / particulière et la dyade sémiotique à diffusion restreinte / à diffusion de masse. Mais commençons en tentant de préciser les relations entre théorie, méthode et objet (de l'analyse) (voir Hébert, à paraître et Hébert, 2012-).

La production de théories, de méthodes et d'applications sont évidemment des pratiques. Rastier (à paraître) définit ainsi la pratique : « Enchaînements d'actions normées, mettant en jeu le niveau physique, le niveau sémiotique et le niveau des (re)présentations. » L'analyse, qui consiste en définitive à caractériser un objet, est une de ces pratiques. L'analyse, comme toute pratique, donne lieu à des performances (sémiotiques), en l'occurrence des analyses particulières avérées qui sont couchées dans des textes oraux ou écrits. La teneur d'une pratique varie, selon Rastier, d'un « discours » à un autre (par exemple, littérature, religion, philosophie); et en particulier, l'analyse en science de la nature, du moins pour ce qui est des caractéristiques spécifiques justement, n'est pas l'analyse en sciences de la culture. Fontanille considère plutôt qu'une pratique est, en elle-même, une sémiotique (2008 : 4). Comme tout langage, elle est donc notamment constituée, outre d'un plan des contenus et d'un plan des expressions, de normes. Mais ces normes se confrontent aux conditions de la pratique en cours : « Par conséquent, l'une des dimensions essentielles de l'analyse des pratiques sémiotiques tiendra à cette tension permanente entre l'accommodation programmée et l'accommodation inventée, entre la préschématisation et l'ouverture à l'altérité; bref entre programmation et ajustement. » (Fontanille, 2008 : 5).

Une analyse, qu'elle soit théorique ou appliquée, se produit dans la rencontre d'une approche et d'un objet. Une approche est faite d'une méthodologie sous-tendue par une théorie (catégories, postulats, axiomes, etc.) et, en principe, cohérente avec cette dernière; ces deux éléments peuvent être plus ou moins explicites, étendus, rigoureux et réflexifs (conscients). Un objet se déploie en aspects (par exemple : un signe se décompose en signifiant et signifié; un texte se décompose en thèmes, récit, histoire, rythme, etc.). éventuellement, une configuration, c'est-à-dire une forme englobée dans l'aspect, sera visée (par exemple, le thème (aspect) de l'amour (configuration)). évidemment, une ou plusieurs propositions logiques, qui sont autant de caractérisations de l'objet, sont assertées ou niées (par exemple pour Hamlet, on pourra soutenir qu'Hamlet n'est pas amoureux d'Ophélie ou que le référent fait partie du signe). Certaines de ces assertions et négations pourront avoir le statut d'hypothèses.

Klinkenberg (1996 : 29-33) a proposé la triade sémiotique générale / particulière (ou spécifique) / appliquée. Il nous semble qu'il faudrait en fait distinguer les sémiotiques générale théorique / particulière théorique / générale appliquée / particulière appliquée. Par exemple, si on produit une analyse de sculptures avec des catégories et méthodes sémiotiques générales, on se trouve en sémiotique générale appliquée; si on utilise plutôt des catégories et méthodes sémiotiques propres à la sculpture, on se situe alors en sémiotique particulière appliquée.

La généralité / particularité des sémiotiques se déploie sur des échelles graduelles. Donnons un exemple simplifié d'une telle échelle – d'autres typologies sont possibles – en allant du plus général au plus particulier : la sémiotique > la sémiotique gustative, la sémiotique visuelle, etc. > la sémiotique de l'image, la sémiotique du film, etc. > la sémiotique du drame d'aventures filmique, la sémiotique du drame policier filmique > la sémiotique de tel film de drame policier ou d'un corpus de tels films. Il existe, à l'évidence, une frontière entre des objets plus conceptuels, plus construits et d'autres, que nous appelons « empiriques », plus concrets, plus donnés (mais les données sont toujours déjà des constructions). Les objets empiriques manifestent les objets construits. Les objets les plus empiriques sont des occurrences attestées (tel film, tel texte). Les objets types (par exemple, tel genre filmique) ou systémiques (par exemple, la sémiotique du film) sont moins empiriques, plus construits donc. L'objet le plus caractéristique de la sémiotique appliquante est évidemment l'objet empirique attesté.

Klinkenberg (2012 : 16), utilisant les catégories de Bourdieu (1991), distingue pour la sémiotique un champ de production et de diffusion restreinte et un champ de production et de diffusion de masse. Plus précisément :

« La champ sémiotique restreint est celui où se concentre la légitimité, celle des acteurs comme celle des concepts. C'est celui de la sémiotique pour sémioticiens. [...] C'est dans le champ sémiotique de diffusion et de production large que la discipline joue le rôle auxiliaire [à d'autres disciplines]. Et ses praticiens, le plus souvent occasionnels au demeurant, n'ont qu'une faible légitimité au regard des normes qui régissent le marché du champ restreint. On observe aussi que les outils sémiotiques sélectionnés par eux sont fréquemment détachés de leur cadre théorique, et que ces outils ne sont d'ailleurs pas particulièrement les outils jugés comme centraux ou d'actualité par les acteurs du champ restreint. » (Klinkenberg, 2012 : 17)

Comme exemple de ces outils auxiliaires détachés, vétustes (si on ne les actualise pas du moins) et périphériques, on pourra donner le modèle actantiel, « victime » de son succès immense.

La sémiotique de production et diffusion élargie exploite sans doute davantage le versant appliqué de la discipline. évidemment des rétroactions sont possibles de la sémiotique de production et diffusion élargie vers la sémiotique de production et diffusion restreinte : appliqués à des objets « exotiques », les théories et méthodes sémiotiques peuvent être invalidées, devoir être modifiées, complétées voire mutées.

Le sémioticien qui pratique dans le champ d'une autre discipline (littérature, sociologie, psychiatrie, etc.) peut se buter à une résistance de la part des spécialistes disciplinaires. D'où la nécessité, sans doute salutaire, de faire la preuve de l'apport, théorique ou méthodologique, de la sémiotique à la discipline d'accueil. La sémiotique a alors stratégiquement grand intérêt à s'attaquer à des problèmes non résolus dans cette discipline.

Objet et volets du colloque

Le colloque Sémiotique appliquée, sémiotique applicable : nouvelles méthodes sera original et pertinent à plusieurs égards.

D'abord, il repose sur la distinction que nous avons vue entre sémiotique appliquante et sémiotique applicable et touche cette dernière. Ensuite, le colloque abordera de nouvelles approches : soit de nouvelles théories et méthodes applicables, soit des théories et méthodes applicables déjà établies mais renouvelées.

Cependant des propositions en sémiotique appliquante pourront être acceptées pour peu que la théorie ou la méthodologie appliquée soit inédite ou à tout le moins modifiée ou réévaluée. De plus seront acceptées des propositions théoriques sur les distinctions que nous avons évoquées ou d'autres apparentées, en particulier sur le statut de la méthode en sémiotique.

Le colloque se déploiera en cinq thèmes principaux :

  1. Progressions. Nouvelles méthodes sémiotiques;
  2. Extrapolations. Nouveaux regards sur des méthodes sémiotiques connues;
  3. Transpositions et dépassements. Nouvelles méthodes venant d'autres disciplines ou de relations interdisciplinaires;
  4. Prospections. Objets nouveaux ou négligés : nouvelles méthodes;
  5. Réflexions. Sémiotique théorique et sémiotique appliquée, théorie et méthode.

Invitation particulière aux non-sémioticiens

Nous lançons une invitation particulière aux personnes qui, sans être sémioticiennes, pourraient proposer à la sémiotique de nouvelles approches.

Invitation particulière aux étudiants

Nous encourageons la participation des étudiants aux cycles supérieurs. La meilleure communication sera récompensée (si les conditions pour la tenue du concours sont remplies). Nous aiderons ainsi la relève à acquérir expérience et reconnaissance.

Actes du colloque

Les actes du colloque seront publiés dans la réputée revue électronique en libre accès Sémiotique appliquée / Applied Semiotics (SA/AS), active depuis 1996 (Michelucci et Marteinson, 1996-).

Date limite et format des propositions de communication

Les personnes intéressées à présenter une communication au colloque doivent faire parvenir un projet de communication par courriel, le plus tôt possible, à : M. Louis Hébert, (louis_hebert@uqar.ca). Les propositions sont acceptées jusqu'à capacité maximale atteinte ou jusqu'au 15 février 2015 au plus tard.

Ce projet doit respecter les contraintes suivantes :

  1. 25 lignes au maximum;
  2. sans notes ni bibliographie;
  3. indication d'éléments théoriques (théoriciens, théories, concepts, ouvrages, dates) pertinents à l'objet de la communication;
  4. indication des objectifs poursuivis et des résultats avérés ou possibles;
  5. indication du statut professionnel (professeur, maître de conférence, doctorant, etc.);
  6. indication de l'établissement de rattachement (un seul);
  7. indication de l'adresse électronique;
  8. indication de matériel technique non conventionnel requis (projecteur à diapositives, rétroprojecteur, magnétoscope, etc.); la matériel habituel sera fourni (ordinateur, projecteur à ordinateur, connexion à Internet, sonorisation, etc.);
  9. accompagné d'une présentation biographique de quelques lignes (10 au maximum).

Durée des communications

Les chercheurs disposent de 30 minutes, plus 10 minutes de discussion, pour présenter leur communication. La durée des communications sera strictement encadrée.

Frais d'inscription, de déplacement et de séjour

Toute personne dont la proposition de communication est retenue devra par la suite s'acquitter auprès de l'Acfas (sur place ou à l'avance par Internet ou par courrier) des frais d'inscription au congrès de l'Acfas dans le cadre duquel prend place le colloque (http://www.acfas.ca). Il n'y a pas de frais d'inscription pour le colloque proprement dit.

Il nous est malheureusement impossible de rembourser les frais d'inscription, de déplacement et de séjour des colloquants. Ces frais sont donc entièrement à la charge des colloquants.

Hébergement

Les personnes dont le projet de communication aura été retenu recevront des informations touristiques et pratiques complémentaires. Cependant, il est du ressort de chaque colloquant de trouver un lieu d'hébergement. L'Acfas fournit sur son site une liste de tels lieux.

Les Colloques de sémiotique de la francophonie

Le Colloque de sémiotique de la Francophonie en sera à sa douzième édition, la première datant de 1995. Ce douzième colloque est organisé sous les auspices de l'Association française de sémiotique. Le colloque se tiendra sous réserve de l'acceptation du projet par l'ACFAS (réponse à l'automne 2014).

Le Congrès de l'Acfas

Le congrès annuel de l'Acfas (http://www.acfas.ca), depuis plus de 80 ans le plus important rassemblement multidisciplinaire du savoir et de la recherche de la Francophonie, accueille des milliers de chercheurs et d'utilisateurs de la recherche provenant d'une trentaine de pays.

Comité organisateur

Le générique masculin est employé uniquement pour alléger le texte.

Prière d'excuser les éventuels envois multiples à une même personne.

Nous vous sommes reconnaissants de diffuser cet appel de communication dans vos réseaux.

OUVRAGES CITÉS

BADIR, S. (à paraître), Épistémologie sémiotique, Paris, Honoré Champion.
BARTHES, R. (1985) [1964], « Éléments de sémiologie », L'aventure sémiologique, Paris, Seuil, p. 17-84
BERTRAND, D. (2000), Précis de sémiotique littéraire, Paris, Nathan.
BOURDIEU, P. (1991), « Le champ littéraire », Actes de la recherche en sciences sociales, t. 89, p. 3-46.
CHANDLER, D. (2007), Semiotics : The Basics, London, Routledge.
COURTÉS, J. (1976), Introduction à la sémiotique narrative et discursive, Paris, Hachette.
COURTÉS, J. (1991), Analyse sémiotique du discours : de l'énoncé à l'énonciation, Paris, Hachette.
COURTÉ̀S, J. (1995), Du lisible au visible, Bruxelles, De Boeck Université.
COURTÉS, J. (2007), La sémiotique du langage, Paris, Armand Colin.
CROW, D. (2010), Visual Signs : an Introduction to Semiotics in the Visual Arts, Londres, Ava publishing.
DEELY, J. (1982), Introducing Semiotics, its History and Doctrine, Bloomington, Indiana U. Press.
ECO, U. (1988), Le signe, Bruxelles, Labor.
EVERAERT-DESMEDT, N. (1990), Le processus interprétatif : introduction à la sémiotique de Ch. S. Peirce, Bruxelles, Pierre Mardaga.
FISETTE, J. (1990), Introduction à la sémiotique de C. S. Peirce, Montréal, XYZ.
FONTANILLE, J. (2003), Sémiotique du discours, Limoges, Presses de l'U. de Limoges.
FONTANILLE, J. (2008), Pratiques sémiotiques, Paris, Presses universitaires de France.
GREIMAS, A. J. (1976), Maupassant. La sémiotique du texte. Exercices pratiques, Paris, Seuil.
GREIMAS, A. J. et J. COURTÉS (1979), Sémiotique. Dictionnaire raisonné de la théorie du langage, Paris, Hachette.
GREIMAS, A. J. et J. COURTÉS (1986), Sémiotique. Dictionnaire raisonné de la théorie du langage, tome 2, Paris, Hachette.
GUIRAUD, P. (1971), La sémiologie, Paris, Presses Universitaires de France, coll. « Que sais-je ? ».
HÉBERT, L. (2003), « Trois problèmes de sémiotique théorique et appliquée : cohérence, genre, intertextualité et structure ontologique », Semiotica, 146, 1/4, p. 475-500.
HÉBERT, L. (2007), Dispositifs pour l'analyse des textes et des images. Une introduction à la sémiotique appliquée, Limoges, Presses de l'U. de Limoges (2e tirage).
HÉBERT, L. (2011b-), Tools for Text and Image Analysis. An Introduction to Applied Semiotics [prépublication], dans L. Hébert (dir.), Signo, Rimouski (Québec), http://www.signosemio.com/documents/Louis-Hebert-Tools-for-Texts-and-Images.pdf.
HÉBERT, L. (2012-), Dictionnaire de sémiotique générale, dans Louis Hébert (dir.), Signo, Rimouski (Québec), http://www.signosemio.com/documents/dictionnaire-semiotique-generale.pdf.
HÉBERT, L. (à paraître), L'analyse des textes littéraires : une méthodologie complète, Paris, Classiques Garnier.
HÉBERT, L. (dir.) (2004-), Signo, Rimouski (Québec), http://www.signosemio.com.
HÉNAULT, A. (2012) [1979], Les enjeux de la sémiotique, Paris, Presses Universitaires de France.
HJELMSLEV, L. (1971) [1943], Prolégomènes à une théorie du langage, Paris, Minuit.
JAPPY, T. (2013), Introduction to Peircean Visual Semiotics : A Visual Rhetoric, New York, Bloomsbury.
KLINKENBERG, J.-M. (1996), Précis de sémiotique générale, Paris, Seuil.
KLINKENBERG, J.-M. (2012), « Les sémiotiques, une pratique sociale », Signata, 3, p. 13-25.
LISZKA, J. J. (1996), A General Introduction to the Semiotic of Charles Sanders Peirce, Bloomington, Indiana U. Press.
MICHELUCCI, P. et P. G. MARTEINSON (dir.) (1996-), Applied Semiotics / Sémiotique appliquée, Toronto, http://french.chass.utoronto.ca/as-sa/.
NÖTH, W. (1990), Handbook of Semiotics, Bloomington, Indiana U. Press.
PEIRCE, C. S. (1982-2009) [1867-1892], Writings of Charles S. Peirce : A Chronological Edition, 8 vol., Bloomington, Indiana University Press.
RASTIER, F. (2002), « Anthropologie linguistique et sémiotique des cultures », dans F. Rastier et S. Bouquet (dir.), Une introduction aux sciences de la culture, Paris, Presses universitaires de France, p. 243-267.
RASTIER, F. (à paraître), « Glossaire », L'homme de signes.
SAUSSURE, F. de (1995) [1916], Cours de linguistique générale, Paris, Payot.
SEBEOK, T. (1994), An Introduction to Semiotics, Toronto, Toronto U. Press.
ZILBERBERG, C. (2005), Éléments de sémiotique tensive, Limoges, Presses de l'U. de Limoges.
ZILBERBERG, C. (2012), La structure tensive, Liège, Presses de l'U. de Liège.
Logo Université du Québec à Rimouski (UQAR)
Logo Association française de sémiotique (AFS)
Logo Revue Applied Semiotics / Sémiotique appliquée (U. Toronto)
Logo Association francophone pour le savoir (Acfas)

Partagez cette page